Centralisée, s’appuyant sur la consommation et se déployant rapidement à grande échelle, avec des rétroactions positives, la culture “industrielle” –plutôt masculine- possède un socle énergétique “non renouvelable” et des flux de matières “linéaires”… Réseau décentralisé, s’appuyant sur le stockage et se déployant lentement à petite échelle, avec des rétroactions négatives, la culture “soutenable” –plutôt féminine- possède un socle énergétique “renouvelable” et des flux de matières “circulaires”… Comment donc passer de l’une à l’autre ? Par la permaculture, selon l’Australien David Holmgren, cofondateur de cette approche systémique.
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