L’éolien industriel : une arnaque au service des lobbies pollueurs et de la finance
Le capitalisme vert ne fait qu’aggraver les choses : un très bon documentaire
Un article sur Reporterre analyse et dénonce les mécanismes vicieux et violents du capitalisme vert qui prétend solutionner les problèmes qu’il a créé par plus de high tech !
En fait une fumisterie organisée pour que les lobbies (des groupes pollueurs de la pétrochimie et autre, dopés au cercle vicieux délirant des crédits carbones), dissimulés par des filiales masquées, puissent continuer à se faire du blé sur notre dos et à polluer. Et bien entendu, les régions rurales sont toutes désignées par l’Etat pour subir cette continuation de la Croissance qui détruit le monde vivant.
L’éolien industriel, faussement écolo mais vraiment répressif
voir aussi Appel à soutien et rassemblement-tintamare pour les libertés à Saint-Affrique (12), samedi 3 février
avec un film très édifiant qui retrace l’histoire de l’Amassada, la réalité de l’éolien industriel, des crédits carbones et de l’opposition au transformateur électrique à Saint-Victor-et-Melvieu (Aveyron) :
PasResNosArresta : « La transition pour les nuls »
par Amassada
Citation :
la solution ne viendra pas du « tout électrique », ni des « réseaux intelligents », ni des « objets connectés » que promeuvent EDF, RTE, Enedis et consorts mais bien d’inventions low tech, de politiques de décroissance radicale, d’agroécologie, de constructions autonomes, de décisions locales et en assemblées populaires, d’expérimentation sociale, d’une nouvelle culture collective née de la lutte.
Ce n’est pas d’une fausse transition énergétique faussement « verte » au profit des multinationales et du maintien de la verticalité étatique dont nous avons besoin. Des énergies industrielles qui vont accentuer la pression minière et la pollution/destruction des sols, sur fond de l’exploitation et de la mort de travailleurs étrangers.
Il est absurde et destructeur de tenter de juste remplacer un type d’énergie industrielle par une une autre, il faudrait surtout consommer nettement moins, diminuer partout la consommation d’énergies et de matières premières. Pour une transition radicale, écologique, sociale, politique, il faut donc bifurquer « grave » du capitalisme et dépérir l’Etat, qui s’y opposent en tout point.