Manifs et actions 15 sept : abroger la loi Travail et commencer un autre monde global par le local ?

Une fois n’étant pas coutume, nous publions le communiqué des syndicats partageant la lutte et partageant l’extension des droits
Le mouvement social concourt à une perspective d’adieux au capitalisme . Il ne se délitera pas tout seul !
Le saviez vous ?
L’on peut par en bas l’affaiblir notamment en montant des communs ou régies publiques et SCIC qui construisent (déjà) le post monde d’après
Et ce, dans 36000 communes ! ce site la liste Echanges fourmillent de pistes en ce sens
Il y est possible de socialiser la propriété privée (actionnariale) des moyens de produire de l’énergie comme de l’alimentation saine (cf notre dernière livraison sur l’agro alimentaire des crottes de souris mixées avec du piment) sous un régime politique de démocratie directe où le grand nombre décide ! (cf avant dernière livraison sur ce site « Transition énergétique occasion de sortir du modèle capitaliste)
C’est pourquoi notre association (de taille modeste encore) la Coordination de la Nouvelle Education Populaire qui a opté il y a 10 ans pour la prédominance politique (et économique …) de la société civile (sur l’état, les partis,…) cherche à s’implanter en Comités locaux autonomes, coordonnés entre eux via la liste de discussion Echanges de la Cen (+ de 300 inscrits), via des AG annuelles, des comités locaux et des commissions au fur et à mesure de leur développement et via ce site
Attention !
ce site (la-cen.org)  va se prendre des congés…Mais il fait appel à tous ses amis et correspondants et adhérents pour FOURNIR des CONTENUS cet été du 12 juillet au 15 août et après
Adressez vous si vous êtes comme ci à : contact@liste.la-cen.org ou 0675800579
Nous participons aux « Nuits débout » là où nous sommes, aux Convergences citoyennes, aux Transitions énergétiques 07 et ailleurs,  aux Convergences citoyennes pour de belles démocraties d’assemblées locales (modèle Saillans) de budgets participatifs (tout le budget, pas quelques %) et tant d’autres Collectifs opposés à la destruction du monde, dans la complicité entre Z’investisseurs (privés) et Z’élus (cf le Lyon Turin sur ce site et son partenariat public/privé, ses conflits d’intérêts grossiers, pour gagner 20 mn entre Lyon et Turin à des hommes d’affaires et bobos en mal de week ends exotiques…avec sa destruction de nos belles vallées alpines nourricières déjà bien dévastées par l’or blanc (qui aère rappelons-le 3% de la population française, pas de quoi abonder des dizaines de millions d’€ d’argent public régional de AURA comme Vauquiez son président ultra capitalistique veut le faire…
Les nouvelles idées communalistes d’écologie sociale sans croissance là où elles s’expérimentent ont commencé pour de bon à réduire massivement les rejets de GES comme de produits et déchets nocifs, à créer des emplois de qualité en masse  tout en réhabilitant la nature dans un nouveau rapport villes campagne, lutte des classes (anti loi travail anti exploitation anti travailler pour un autre) et luttes écologiques, pour un modèle de vie fondé sur la lutte et la construction de modèles de démocraties de co décision, sur la décroissance tout azimut de la mégamachine capitaliste (propriétés, pouvoirs, technologies destructrices et cultures de l’individu tout puissant y compris) sur la croissance des cultures critiques et populaires contre le consumérisme insensé…(relire notre livraison de la semaine passée sur « Pepe MOJITA ! » ex président de l’Uruguay)
D’en bas c’est possible et même nettement plus réalisable que s’attaquer à l’en haut !
En tout cas c’est un bon réapprentissage des démocraties politique économique et culturelle (cf nos amis islandais sur qui s’est abattu le silence médiatique, vu que les médias sont aux mains de ceux, les milliardaires, qui craignent la démocratie (lire La violence des riches)
Les mouvements de résistance et de lutte doivent AUSSI porter les projets EXPLICITES d’une autre vie sociale, d’un autre mode d’organisation économique social politique culturel et d’un autre rapport que de domination de la nature
Ne doit-on pas désormais mettre partout en lumière la nécessité profonde vitale de sortir d’une méga machine qui nous condamnent tous, espèces et biodiversité comprises, sauf les riches, à subir les terrifiantes catastrophes climatiques géopolitiques alimentaires (dont l’eau) et aussi financières (la nouvelle explosion sera bien plus dévastatrice) sanitaires et sociales qui s’amoncèlent de son fait et massivement…à moins que nous en limitions les effets.

Effondrements ?

Lire « Comment tout peu s’effondrer » et « Le dernier qui sort éteint la lumière » rubrique  « lectures d’été »  sur ce site : achetons de vrais livres papier chez de vrais petits libraires, ou empruntons-les ! mais de grâce lisons car c’est se sauver (Bettelheim : Survivre) lire mieux que de méditer encore !!!

Effondrements déjà de 4 ou 5 des 9 barrières vitales. Plus un poisson en 2040 (prévision ONU)

Effondrement du  fait principal de cette « méga machine » comme système, c’est à dire ensemble de dispositifs économiques financiers institutionnels étatiques médiatiques technologiques moraux intellectuels culturels…depuis les émissions de CO2 : les 2/3 émis par 90 multinationales, voir les données scientifiquement établies sur ce site, jusqu’à certaines de nos plus  intimes convictions sur le progès, la croissance, l’économie, la modernité, le voyage (aux Marquises au Matchu Pichu, au long du Nil, au Sahara…avec chaque fois 3/4 tonnes de CO2 par passager) bref que du « Bonheur conforme » (à lire)….intimes convictions qu’il a su nous faire intérioriser par ses appareils symboliques école, médias, techniques numériques nomades, ses produits, son organisation  de l’espace politique (citoyen) : notre démission par délégation à des « maîtres » et non la votation directe des lois, des projets et des budgets !!!

Oui, dans ce système, il y a la partie intériorisée de celui-ci !

Il  s’appuie sur d’archaïques et très anciennes dominations et peurs lui ayant préexisté comme la domination masculine, le fatalisme sociologique (il y a toujours eu des riches et des pauvres »), la soumission à l’autorité (voir sur ce site une de nos formations de « conscientisation à ce mécanisme inconscient et si puissant ) et sur le sens sacré de la propriété privée
Comme il a plié sa machinerie en nous, il a aussi acheté nos silences, nombre de nos pensées individualistes, voire nos collaborations et nous fait commettre de notre plein gré des actes collectifs de grande cupidité et racisme…
Une tétanie intellectuelle nous a fait prendre la modernité et surtout la post modernité pour la fin de l’histoire alors que nous consentions en silence à la loi d’airain dans l’entreprise, au triomphe des milliardaires sur yacht de 110 m à 330 millions d’€ pièce, et côté « loisirs » après le travail (épuisements, hiérachies et soumissions) et pour s’en consoler, côté loisirs consuméristes, nous consentions aux dévergondages insignifiants du « capitalisme de la séduction » désirs illimités destructeurs (qui a vu sur Arte les « Sex tape » sur des milliers de portables en est bien conscient)  , liberté sans limite, y compris de ne pas protéger notre jeunesse des nouvelles offres de cannabis à 35% de THC détruisant les neurotransmetteurs, et rendant zombies les ados accrocs
Et aussi toutes nos villes cernées de zones commerciales hideuses, nos centres bourgs déserts, des lotissements de cubes entourés de mini pelouses roundopées et de hauts murs, partout la  laideur matérielle et allant de pair avec elle la laideur morale, comme la baisse de l’activité intellectuelle critique (cf notre dernier envoi – baisse de QI-  cf les bouquinistes qui ne vendent plus que du bien être perso les rayons de sociologie critiques désespérément sans « clients »
Parler « capitalisme » fait encore  tache et gros mot, avec sa cohorte de défenses réflexes : la propriété ? On a donné avec la Russie soviétique ! la démocratie ? c’est  faire le jeu du FN ! …
Hier, par exemple, cette fête savoyarde organisée sans produits ni producteurs bio, avec du porc le moins cher de batteries polonaises nourris aux tourteaux OGM d’Argentine, des frites creuses à 40% d’huile de mauvaise qualité, même pas de patates locales, du Coca avec ses cancérogènes avérés (aspartame et colorant brun) ses bâtons lumineux interdits mais largement agités, et le clou :  le feu d’artifice mais avec des musiques industrielles boum boum annulant la beauté du ciel…et du jardin partagé voisin…
Encore ! Et nos habitudes d’acheter du diesel sans recul critique (je ne parle pas ici de qui habite loin faute de moyens et vient au boulot avec sa caisse d’occase) alors que par exemple, une Sandero à gaz fossile et sans modules électroniques pollue 10 fois moins qu’une Prius électrique de bobo bio vert…à 4000 € une bonne occase, le prix d’une yourte, c’est jouable) Et qui avec le covoiturage sans passer par le capitalisme Blablacar, pourra bientôt recevoir (e) du bio gaz méthane de digesteurs municipaux, en attendant des mobylettes et minibus bio gaz et des TER à turbine à bio gaz méthane produit un peu partout à une échelle conviviale donc pas pour alimenter la mégamachine mais pour la démanteler depuis le bas !

Pas les TGV ! Pas les grandes surfaces ! Pas le milliard de vacanciers à l’autre bout de la planète bousillant la stratosphère, dont ceux bobo bio locaux descendant à Noël le Nil après m’avoir reproché de me brosser les dents sans fermer le robinet….pas les grands groupes …..bref finissons en avec la croissance, les grands groupes multinationaux, à commencer par Monsanto, avec le grand marché mondialisé (y compris le fenouil bio d’Egypte) et vivons avec l’économie juste nécessaire et naturelle et la nature locale ou retrouvons entre villes et campagne des rapports de co constructions régénération y compris nourrissiers (et que les déchets bio excédentaires alimentent des bio digesteurs bio, mais pas pour des clim et autres gaspillages consuméristes): l’on peut sans se tuer maraîcher avec 2 chevaux et des machines légères : plantoirs , épandeurs…et pratiquer la culture sur couche pour manger de bons radis ou des salades avant même le printemps

On en est là : des millions de vies hors sol, vides de sens s’étourdissant en voyages lowcost ou matchs de foot ou séries TV industrielles…Ou boum boum, alors qu’on a au local de quoi réinventer une vie riche, pas une vie de riche.

Ici nous cherchons la racine aux deux sens :

comprendre pourquoi on en est là, aux bord de l’extinction, et plus apte à s’enflammer pour un 2_0 que contre un 49-3 (*)

chercher comment une vie résiliente,  dense en liens humains avec moins de biens, riche en échanges avec la nature pourrait renaître à commencer par la production vivrière bio et la permaculture totalement relocalisée en périphéries….

Ce qui suppose de tous aller aux Conseils municipaux, de s’y enquérir des projets inutiles, de se réunir en assemblées locales (de Nuits debout à toutes les formes inscrites dans les traditions populaires), de  réapprendre localement à combattre ces projets d’une façon qui rassemble et développe le « pouvoir d’agir » de la société civile (coordinations) où les habitants de base puisse prendre toute leur place, infos percutantes sur les marchés et espaces publics, fêtes et autres théâtres forum, cinés débats et éducations populaires , médias alternatifs et radios locales..).en cherchant à faire s’exprimer largement le maximum d’habitants des très jeunes aux plus anciens sur leur vision de l’avenir de la ville et du territoire.

On se souvient qu’à Saillans, l’enquête « Quel avenir pour le Coeur de Saillans ? »  a suivi la résistance à l’implantation de grandes surfaces…et a largement contribué à ce que 240 personnes s’inscrivent dans 14 commissions (sur 1995 habitants)

Lutter contre la destruction de nos biens communs sociaux et de la nature par la propriété privée commerciale industrielle bancaire immobilière foncière médiatique , au fond mafiatique et criminelle …c’est le terreau indispensable du chemin permettant les mutations intellectuelles et morales des acteurs, la convergence des savoirs, le développement de batailles d’idées en faveur de la démocratie de co-décision, sans craindre de s’attaquer au pouvoir et à la propriété capitalistes, ces deux tabous installés par le système médiatico-culturel et politique depuis des siècles, sans craindre les opinions extrêmes : trop souvent prétexte à annuler des processus démocratiques)

En privilégiant  et les besoins réels des classes les plus nombreuses, trop souvent peu à l’aise avec les formes actuelles des Collectifs où les partis politiques chassent l’électeur potentiel en échange de quelques tirages, et les débats d’idées, sous les formes les plus créatives (stop aux conférences du soir en salles de centre ville)on alà sans doute deux pistes pour monter des Assemblées locales s’attelant à un Projet Résilient et Alternatif de Territoire d’Initiative Citoyenne (acronyme Pratic de la Cen) afin de construire  en même temps que les luttes, les bases d’un ou de projets alternatifs largement partagé dans sa bio diversité

Le débat ainsi que la réduction des inégalités sociales sont à la base de l’invention de la démocratie directe à Athènes. Il y a 2500 ans déjà il était acté que personne ne pouvait être 50 fois plus riche que le plus pauvre faute de voir le riche acheter la démocratie même par référendum (cf NDD Landes)
On doit selon nous (et tant d’autres) débattre de l’idée qu’il n’y a guère de démocratie politique sans démocratie économique ni démocratie culturelle !

On ne peut réussir la démocratie directe  locale (DDT dit la Cen)  sans réfléchir  à des politiques publiques qui s’attellent au développement économique des cités et territoires…tous gravement appauvris par la « mégamachine »  du capitalisme économique technique politique et culturel mondialisé avec les états et l’Europe leurs auxiliaires de plus en plus zélés.

Un autre « modèle » économique local est possible  ! Et il se cherche Il s’est même trouvé en certains endroits et là on ne traitera pas du Chiapas pourtant un beau processus

Une  « bio économie locale endogène » sans croissance, mais productive mais conviviale,  donnant priorité aux régies publiques et aux propriétés coopératives (économie sociale et solidaire écologique), enchassées dans le social et la nature locale comme par exemple des régies publiques de productions municipales de bio gaz, d’électricité et de chauffage, avec de fortes valeurs ajoutées ( Montdidier France 400 000 € nets de retour dans les caisses publiques pour 4 éoliennes municipales)  pourra, si l’appropriation des bénéfices est publique ou semi publique (SCIC) moyennant des péréquations entre régions et si le contrôle est démocratique,  financer :
-l’alimentation publique 100% bio des cantines de nos enfants à prix inférieur à 2 €, qui restaurerait leur santé, car tout se tient comme le disait si bien le chef Indien Seattle : pour rappel 40% sont atteints de maladies chroniques , 1 adulte sur 2 développe un cancer qui est désormais cause n°1 de la mortalité en France : peut-on vivre sainement sur une planète malade des particules (diesel charbon pétrole) du bétonnage, de la chimie, du réchauffement climatique, des technologies intrusives, de la robotisation totale (1 emploi créé 10 de supprimés soit 75% de chômeurs en 2035)  du plastique, des banques et du profit
-des maisons médicales de prévention naturelle
-des transports doux : certainement pas avec les catastrophiques voitures électriques du capitalisme vert, ni le photovoltaïque sur support d’acétate de vinyle hautement cancérogène
-du chauffage solaire des HLM, des constructions nouvelles (incitées) en paille bois terre eau (banchage Douglas) et bio climatiques (cf HLM 7 étages paille à St Dié Vosges 140 E de chauffage annuel par F4) , et de tous les immeubles publics (bannissant  le recours à toute énergie fossile, ou fissile)
-des lacs semi naturels phyto épurés pour que la population puisse aller se baigner gratuitement au lieu de stades nautiques  hors de prix (comme à Crest) ou de la privatisation des bords des lacs et rivières. Rosans Sisteron Dignes Bourg ont des lacs gratuits On peut même les préchauffer naturellement par un pré lac avec des chauffe eau solaires
(oui on garde quelques piscines d’hiver en ville)
-beaucoup de fêtes (avec des produits bio !) et de festivals culturels populaires, d’échanges de gratuités et de savoirs, de débats et de productions artistiques (cf Bernard Lubat et son Festival « Poïélitique » d’Uzeste musical où plus de la moitié des habitants produisent artistiquement !!! enfants compris)
-des jardins collectifs évoluant vers la permaculture comme horizon et comme déconditionnement de la colonisation capitaliste de nos habitudes,lieu de formation pour les enfants
-des enfants et jeunes désormais associés à tous les projets sous la forme de recherches actions donnant lieu à apprentissages par « auto socio construction ou production » de savoirs nouveaux « résilients »  (et non de la récitation de savoirs objets) si l’on peut peser sur le système scolaire pièce importante du système ou en descolarisant ou en créant des lieux alternatifs soutenus par les communes soutenant les écoles mais à condition que…
-faire tourner l’argent sur le local (priorité d’achats aux producteurs) ce qui enrichira sobrement les plus pauvres
-Etc etc etc
Mais ce que nous en disons c’est juste pour ne pas bronzer idiots….
Bel été à tous/tes
AD
(*) Un peuple qui hurle en masse  pour un 2-0 mais pas  en masse contre un 49-3 c’est (peut être) ça l’état d’urgence !
Déclaration commune CGT – FO – FSU – Union
syndicale Solidaires – UNEF – UNL – FIDL
du 8 juillet

Les organisations syndicales de salarié-e-s et de jeunesse (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF,UNL, FIDL)
ont pris acte et dénoncent la nouvelle utilisation du 49-3, véritable déni de démocratie,pour faire passer
le projet de loi travail.

C’est bien la preuve, si celle-ci était nécessaire, que ce texte de régression sociale reste minoritaire.
Soutenues par une large majorité de la population, elles réaffirment leur opposition à ce projet et
la nécessité de nouveaux droits pour les salarié-e-s,privé-e-s d’emploi, étudiant-e-s, lycéen-e-s, retraité-e-s.
Ce sont encore plus d’un million qui ont participé à la votation citoyenne et signifié leur rejet de ce projet.

Les nombreux rassemblements et manifestations de ces derniers jours, notamment le 5 juillet, ont
réunis plusieurs dizaines de milliers de participant-es. Les organisations syndicales et de jeunesse
dénoncent les conditions contraignantes de manifestations qui ont empêché certain-e-s d’y participer.
Elles réaffirment que la liberté de manifester doit rester un droit.
Les mobilisations initiées depuis quatre mois n’ont pas été entendues par ce gouvernement.
Qu’à cela ne tienne ! La détermination, malgré le passage en force à l’Assemblée nationale, reste
intacte et toute la période estivale sera l’occasion de la rappeler. Nombre d’initiatives locales, sur

tout le territoire, sont déjà prévues et organisées de manière unitaire.

Les organisations syndicales et de jeunesse invitent l’ensemble des salarié-e-s, privé-e-s d’emploi,
étudiant-e-s, lycéen-e-s, retraité-e-s à adresser une carte postale au président de la République

pour lui assurer qu’ils seront toujours mobilisés à la rentrée !

Les organisations (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) donnent rendez-vous à
l’ensemble des salarié-e-s, privé-e-s d’emploi, étudiant-e-s, lycéen-e-s, retraité-e-s pour une journée
d’actions et d’initiatives le 15 septembre pour obtenir l’abrogation de la loi Travail et conquérir de
nouvelles garanties et protections collectives. Elles se retrouveront pour faire le point le 31 août.
vendredi 8 juillet 2016. Déclaration commune CGT – FO – FSU – Union syndicale Solidaires – UNEF – UNL – FIDL