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Dans sa publication annuelle, l’Observatoire des transports et de la mobilité de l’Arafer montre une hausse de l’offre ferroviaire en France portée notamment par le TGV. Mais les Français continuent majoritairement à se déplacer en voiture.

Lire notre COMMENTAIRE y compris la partie Avant Pays Savoyard !!! en (1)

L’Observatoire des transports et de la mobilité de l’autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) a publié dernièrement son bilan annuel du marché français du transport ferroviaire de voyageurs. Ce document dresse un état des lieux de l’activité ferroviaire (fréquentation, nombre de lignes nationales et régionales, indicateurs de qualité de service…) et la resitue dans le contexte du marché national du transport de voyageur.

Dans sa synthèse, l’Arafer signale ainsi que le nombre de voies ferrées en France a augmenté mais que cette hausse s’explique par l’ouverture des lignes à grande vitesse. Celles-ci ont « compensé la fermeture de lignes classiques et a permis au réseau ferré national de d’accroître sa taille de 346 km », indique ainsi le document.

Dans le détail, 2573 communes sont desservies par un service ferroviaire de voyageurs, dont 99,6% d’entre elles par un TER ou un transilien.

Huit gares ne sont pas desservies par ces services : les gares TGV Haute-Picardie, Meuse, Lorraine, Le Creusot-Montceau-les-Mines, Lyon-Saint-Exupéry, Belfort-Montbéliard, Marne-la-Vallée-Chessy, et la gare de Saint-Flour-Chaudes-Aigues, desservie, elle, par un Intercités.

Et alors que, en 2017, la demande de sillons a également augmenté, la fréquentation ferroviaire a suivi la même tendance. Ce résultat positif (+7%) permet ainsi de « casser la tendance baissière observée de 2011 à 2016 ». En un an, tous les services ferroviaires ont ainsi vu leur fréquentation augmenter, en particulier les TGV domestiques (+9,7%).

Avec une hausse de 5% de passagers par kilomètre, le TER profite en particulier de la bonne santé du réseau des régions Aquitaine et Provence Alpes-Cote d’Azur, qui enregistrent respectivement une augmentation de 13,6% et de 10,3%.

Ces hausses ne masquent toutefois pas les difficultés de l’opérateur à remplir ses trains puisque le taux d’occupation moyen des TER (hors transilien) est en légère baisse (-0,1 point) car l’augmentation de l’offre a été supérieure à celle de la demande.

Voilà une des préoccupations de la SNCF : conquérir de nouveaux usagers. Car, aujourd’hui encore, les Français continuent de se déplacer massivement en voiture.(1)

(1)

NOTE de la Direction/édition du site de la CEN
Si les français utilisent lce cancer de la bagnole qui tue (routes , suies, N02, SO2, etc) , qui pue, qui pollue, qui coûte la peau des fesses aux familles à faibles revenus, qui a déconstruit la ville à ses besoins prioritaires, qui a détruit la nature, de ronds points à 500 000 euros (dépenses prioritaires des élus des Conseils départementaux) en autoroutes ravageuses et privatisées (offertes sur un plateau en or par nos Z’élus aux actionnaires plein les poches), de grandes surfaces éloignées en centre ville déserts, en étalements urbains (1 département de terres arables sacrifiées tous les 7 ans préparant le crash alimentaire qui vient) …et qui, aujourd’hui se referme comme un piège sur les français aux revenus modestes (les 3/4 d’invisibles mais aujourd’hui visibles aux ronds points) faute de transports publics et doux, voici qu' »ils raserontles forêts pour cultiver les agrocarburants…ils foreront les profondeurs..ils quadrilleront le monde de pipelines et supertankers..mobiliseront la science pour rouler jusqu’à l’éternité (le moteur à eau pourquoi pas dit la pétition aux 2 millions de signatures, …Ils iront jusqu’au bout…Pour que les flots d’automobiles continuent à s’écouler »

Et ici en avant Pays savoyard, 3 TER sur 4 ont été supprimés, 4 rétablis après 4 manifs, les Z’élus votent pour les plates formes à bagnoles aux entrées d’autoroute : « co-voiturages doux » siou plaît qu’ils disent, avec la rente pour les plate forme payantes en prime, et les fumées pour tout le monde juste pour rejoindre Lyon embouteillée, asphyxiée mais sublime métropole européenne de la croissance durable (sic) à qui doit être sacrifié les territoires et cités jadis prospères avant que la « mondialisation », alias le « libre échange » alias les « avantages comparatifs » (payer un chinois, aux débuts, à 70 € le SMIC, rendant le ciel chinois aussi pollué désormais que celui que Lyon) …

Ils sont encore nombreux ceux de nos élus des deux côtés des Alpes qui rêvent de voir dévastées nos vallées alpines avec 32 milliards d’argent public pour un TGV qui ferait gagner aux riches 1h sur Paris Turin et moins de 20 mn aux lyonnais aisés pressés de rejoindre Milan, le tout alors que le Collectif des opposants au TGV Lyon Turin ont amplement démontrés qu’avec les 3 systèmes de transbordements et les voies existantes et quelques dizaines de millions d’euros à requinquer les infrastructures 800 000 camions pourraient être annuellement soustraient des mêmes vallées alpines asphyxiées et malades du tout camion du tout bagnole !

Il est temps de passer nationalement au RIC et à la Constituante où des gens tirés au sort décideront enfin que les lois soient élaborées et votées par le peuple souverain législateur

Votées soit directement soit par des mandataires impératifs !

Et localement il est tout juste temps pour qu’en 2020 chaque commune et territoire soit pris en main par ses habitants !!!

C’est possible c’est nécessaire ça existe déjà par des commissions et AG décisionnelles et ou le Conseil Municipal désigné (élections sans candidat) entérinera , les décisions prises après mûres délibérations discussions et engueulades fraternelles

Celà la démocratie directe élira in fine les biens communs et publics comme à Vandoncourt, Saillans et autres expérimentations qui marchent, au lieu des délégations aux Z’investisseurs, plein le béton, le goudron et le pognon.

Quand se meure la nature vivrière partout ou presque et qu’ici le sublime lac d’Aiguebelette couronné jadis de bois sombres et de prairies nourricières est désormais couronné de béton et dont les eaux sont peu à peu menacées de n’être plus aussi buvables au temps des sècheresses et catastrophes climatiques qui s’en viennent !!!! André Duny

(2)Contact Coordination des Opposants au projet “Lyon-Turin” : Daniel IBANEZ 06 07 74 10 17 / François MAUDUIT 06 31 58 01 71 contact@lyonturin.eu     http://lyonturin.eu/