Présentation

La Coordination de la Nouvelle Éducation populaire se veut utile à l’éveil des consciences, au colportage des savoirs d’alternatives d’écologie sociale, au Municipalisme (prendre en main nos destinées au plan local naturellement et complémentairement aux mouvements pour l’émergence du pouvoir populaire et citoyen au plan nationale, dont nouvelle Constitution, donc constituante tirée au sort, RIC et DDT (démocratie directe locale 2020)à la prise de pouvoir de la société civile sur ses territoires aux convergences locales entre émancipation sociale et transitions écologiques (alternatives! pas d’éoliennes géantes de multinationales), au dépassement par en bas (comme par en haut) du système capitaliste (économie état culture), ce cancer qui dévore la planète et ses humains….et les précipite à la disparition de tous les vivants

Pour sortir de la procrastination et de l’impuissance résultant d’une démocratie aux mains des marchés, la démocratie directe territoriale  (ou DDT ) complémentairement aux formes renouvelées de démocratie directe nationale (RIC tirages au sort constituante) est une voie que la Cen a tenté d’ouvrir à travers ses Cen animations dont celles des jardins collectifs au pied des HLM ou celles visant l’élaboration de Projets Résilients et Alternatifs de Territoire d’Initiative Citoyenne et d’intelligence collective ( les PRATIC-ic ) ou le PETARD (projet de production d’énergies territoriales en autonomie , renouvelables, en démocratie directe)…suite de Jean ZIN et de ses coopératives municipales, dont le but est de reprendre la main sur l’économie mais aussi la culture (démocratie culturelle) par le biais de socialisations locales des moyens de productions alimentaires énergétiques culturels, appuyé sur une saine gestion des ressources locales (coopératives, régies publiques, SCIC, biens communs) et naturellement soutenues par les futures banques nationalisées mais déconcentrées localement et au service d’une RELANCE ECONOMIQUE SAINE sans CROISSANCE  bref une PERMA ECONOMIE (comme permaculture) avec récupération de nos SOUVERAINETES monétaire, alimentaire, énergétique, politique, nationales dans une visée d’universalité des coopérations avec les autres pays notamment les plus pauvres (CHARTE de la HAVANE 1947)

Les socialisations sous diverses formes : régies publiques et coops municipales, SCIC, réseaux de Scops, permettent de réduire la zone de domination toute puissante des multinationales dont les banques géantes tenant les états à leur merci par leurs prêts et les intérêts qui s’y attachent (France 50 milliards/an = esclavage géant visible dans l’austérité et les privatisations) , formant le système capitaliste globalisé, financiarié à l’extrème et mortifère pour l’existence même du vivant et de la race humaine …

Elles permettraient également de dégager des revenus via la captation collective, sociale, commune de valeurs ajoutées (aujourd’hui la propriété privée est le syphon à pognon): on produit moins en grande série (production capitaliste de masse (ou capitalisme d’état ex urss) mais la production low tech mobilise beaucoup plus d’agents – production par les masses- réalisant plus de valeur ajoutée par unité de qualité produite : exemple tomates de variétés anciennes contre grosses productions du sud de l’Espagne Alméria acheminées par une noria de camions ou sauce tomate l’Or rouge produit industriellement en Chine et plein de pesticides) pour  satisfaire les besoins jugés prioritaires utiles et nécessaires par les habitants eux mêmes (et il y a parmi les moyens de vivre sainement : le temps, les fêtes, les convivialités, les échanges culturels…) gérant le territoire eux mêmes et apprenant la démocratie raptée depuis 2 siècles par les élites ayant compris que par les votations le peuple démissionnait de sa souveraineté législative et élisait ses propres maîtres…

On peut ainsi solidairement et sans croissance faire face aux effondrements en cours

On peut ainsi localement et nationalement créer par notre nombre notre cohérence nos convictions intellectuelles partagées développer un rapport de force non violent avec les classes possédantes ultra riches et jamais décidées à lâcher du lest, comme en confère leur sabotage de toutes les décisions climat pour réduire le moteur thermique du système, les énergies fossiles

Quant aux renouvelables c’est juste une niche de profit avec les subventions publiques des états

Cette reconquête des moyens de vivre une vie vivable, c’est à dire  non réduite aux premières nécessités matérielles, c’est s’assurer le plus possible du ravitaillement énergétique, alimentaire, sans empreinte écologique insoutenable, dans un périmètre de quelques dizaines de km

Mais une vie vivable c’est aussi une vie philosophique, culturelle, spirituelle, du temps, bref qui exige que  tous, nous  consommions modérément les ressources naturelles non renouvelables selon une austérité juste, formule de eenrico Berlinguer, en mettant l’égalité sociale au coeur de la coopération avec la nature qu’implique cette vie vivable.

Il faut donc comprimer les revenus des actionnaires et des plus riches (revenu maximum autorisé par la loi, alias le Talon de fer, la coercition notamment sur les évadés et fraudeurs fiscaux) lesquels assassinent la planète aussi avec leurs ultra consumérisme (un yacht : combien de tonnes de gasoil ultra polluant  à l’heure ? )

Nous pouvons y parvenir collectivement  sans violences  , en se passant (ce qui est commencé !) progressivement des : banques d’affaires, multinationales, grandes surfaces, promoteurs, élus de droit divin, médias menteurs, cultures main stream, et toute cette culture et ce mode de production industrialiste, productiviste, hyper numérisé, robotisé, technicisé, et ce sans croissance quantitative en diminuant tout au contraire massivement les émissions de CO2 et en augmentant l’humus vivrier périphérique aux cités.

On peut, en globalisant les alternatives au local, comme dans le même mouvement au national, ré-apprendre ensemble la coopération, ébaucher une vie plus sobre et proche de la nature via débats et expérimentations. On peut par l’argent produit par les régies territoriales et l’économie réparatrice socialisée dans le territoire créer des emplois durables, réduire les inégalités, maintenir des services gratuits, financer une intense vie sociale et culturelle bref  inventer un nouveau bien vivre tout en contribuant à  affaiblir, réduire, voire assécher le système par ses pieds , Il s’agit donc de continuer à mettre des forces en marche pour que les solutions s’inventent par elles mêmes (cf le succès de Merci patron ! par exemple à une échelle sans commune mesure avec le travail de fourmi de notre petite association)

Construire le rapport des forces nécessaire à la justice sociale et climatique nationale et mondiale, vers la décroissance de la mégamachine  qui ravage notre monde global, pour un monde résilient capable de faire face ….est notre patsage global. Sans viser les étoiles on se contente de la lune et sans viser la lune on ne fait plus que se regarder les doigts qui la montre…Tout se brouille en micro conflits et micro projets sans horizon, le Colibri meurt d’épuisement …

HISTORIQUE

La CEN, a été créée dans l’Ain en 98 comme « coordination des éducations nouvelles » (d’où son sigle Cen), pour rendre possible le dialogue entre mouvements pédagogiques et parents d’élèves, aller vers une pédagogie « sociale » s’ancrer dans la société civile  et pas seulement parmi les professionnels de l’éducation.

Après son déménagement  dans le valentinois en 2002-4 elle a mué en « éducation populaire alternative » avec à son actif

-3 stages en 2004-6, en Drôme Ardèche « Démocratie directe et  éducation populaire »

-les soutiens aux sans papiers et au mouvement féministe d’où est né le blog « caféministe de la Nouvelle éducation populaire » (Romans/Isère)

-une campagne acharnée avec Attac (avec qui elle animait un café citoyen à Valence) contre le Traité européen en 2005

-a développé ses propres cafés  indépendamment d’Attac, elle même en voie d’extinction en 26 et 07

-a participé à trois années de formations à l’accompagnement scolaire sur un quartier populaire de Saint Etienne

-d’AG en AG s’est redéfinie comme « nouvelle éducation populaire » généraliste orientée vers l' »écologie sociale », et une économie coopérative locale résiliente face à « l’addition des crises globales »

L’association s’est alors déclinée en « branches » , abordant avec succès des thématiques comme l’éco construction (stage avec 15 ateliers et 85 personnes en juillet 2008), l’autonomie en énergies renouvelables 2009, la démocratie territoriale (ou DDT) (2007/9/10), l’alimentation bio locale directe combinée à la démocratie communale (2010) et à la permaculture, expérimentée dans la jadin deu coordonnateur, la citoyenneté en HLM et  les jardins pieds d’immeubles (2011-12), puis les 4 thématiques ensemble dans des Rencontres d’été successives

D’AG en AG de luttes en luttes (particulièrement dans le Collectif Ville campagne du valentinois) d’alternatives en transitions (Oui à la Transition 07) s’affirment et s’affinent ses propositions crédibilisées par des exemples de réussite

Ses priorités vont alors à

-contribuer à répandre un peu de clarté  sur le rôle d’un système impactant gravement la vie et les sociétés : dont l’état compris non seulement comme encore un peu redistributeur mais ouvertement auxiliaires d’une économie de prédation par croissance infinie, dont les multinationales notamment celles des énergies carbonées tueuses de climat, du commercial géant, les banques, l’immobilier spéculatif, l’agroalimentaire empoisonnant, l’agriculture industrielle pesticidée, l’urbanisation destructrice des espaces vivriers, les médias menteurs, la culture de dérivation, l’école de l’impuissance, la privatisation des biens communs au profit du grand marché libre et non faussé, etc, etc

-colporter surtout quelques pistes alternatives qui permettraient à la société civile de faire face aux graves crises (effondrements) de devenir avec une autre économie , résiliente, ou protectrice, justement en s’émancipant de la tutelle  de cette  mégamachine capitalistique, économique, politique et culturelle cause déterminante de la disparition de la vie…

L’association se positionne alors en mouvement de conscientisation à la recherche des diverses formes de reconquête des autonomies alimentaires et énergétiques territoriale et citadines (ville/campagnes) via  des régies publiques, de reconquête du « pouvoir citoyen » de la société civile, afin qu’elle puisse décider elle même, sans délégation ni aux partis ni aux élus tout seuls, par co-construction des décisions (et pas seulement par consultations et propositions) ou démocratie directe

La naissance du pouvoir citoyen sur la commune de Saillans (250 personnes en 14 commissions gèrent ou commencent à gérer une cité de 1200 habitants  où la Cen avait animé précédemment deux soirées sur la démocratie du budget participatif) a donné un coup de fouet à sa promotion de la DDT (démocratie directe territoriale) comme moyen de commencer à sortir par le bas du « système » (propriété et pouvoir)

L’association anime de nombreuses soirées ciné débat rencontres et participe à des forums comme celui sur la Transition à Villeneuve de Berg où 170 personnes participent très activement à ses 3 ciné-débat et à ses propositions.
Elle animait une chronique sur une radio portant sur le triangle Romans Chabeuil Valence depuis 2009 elle en anime 2 autres sur Crest et sur Tournon ainsi que des interventions ponctuelles sur d’autres !!!!

En 2015, outre la cogestion d’un jardin partagé-pédagogique, de fêtes de quartier, de journées semis en godets et permaculture, de relance des luttes pour sauver les terres agricoles et jardins urbains du valentinois, se lance le Collectif de la « Transition collective »  et l’accueil de la vélorution Alternatiba auquel adhère la Cen…

A travers ces animations concrètes, elle continue d’alerter sur les effondrements économiques, sociétaux, politiques, environnementaux, climatiques, alimentaires, et développe ses propositions pour  les atténuer : résister c’est vain si l’on n’invente pas l’alternative , et vice versa.

Ses adhérenst/tes et amis/es agissent dans des collectifs ou coalitions, ou en comités locaux, ou solo, éditent, chroniquent, soutiennent  ou militent selon les colportent leur part des solutions à la fois concrètes et systémiques de résiliences, de transitions alternatives, économiques et sociales, de prise en main de son avenir par la société civile organisant sa survie.

Ce projet rencontre le mouvement réel : la « démocratie » délégative » libérale et le modèle économique sont rejetés par les milieux populaires qui aspirent à prendre en main et partager le pouvoir à commencer par le territoire et la cité. La démocratie directe c’est le plus puissant moyen pour s’organiser en vue d’atténuer les chocs et d’emprunter des chemins construisant une société meilleure, résiliente, sobre et coopérative avec la nature.

Les colportages des expériences d’autonomies alimentaire, énergétique, politique, culturelle tout spécialement sous la forme de biens communs, de nouveaux rapports villes/campagnes, en permaculture, de régies publiques municipales et territoriales gérées par les commissions d’habitants,  peuvent déboucher sur la construction d’une bio économie endogène locale, de diverses formes de socialisation de la propriété des moyens de produire, d’un pouvoir de décision et d’expertise partagé, d’une co-production des savoirs mis en échanges dans des festivals eux aussi co construits…
La méga machine systémique qui a ravagé notre biosphère et nos sociétés humaines peut ainsi être contrainte à la décroissance de ses méga multinationales, méga banques, méga agro alimentaire, méga « hyper », méga immobilier, méga technologies destructrices des emplois (robotisation) et de la terre (extractivisme ), méga Internet et espionnage générai, méga état régalien protégeant les puissants, méga démocratie délégative organisant la méga impuissance politique du peuple, méga médias , méga cultures industrielles, méga colonisations des consciences, méga libre marché mondialisé et maxi renards libres dans (presque) tous les poulaillers libres…

Consciente que c’est le même système qui a empoisonné la nature et saccagé les sociétés humaines, la Cen recherche les convergences mettant l’écologie dans le social, le local dans le global, l’engagement personnel dans l’histoire collective des luttes de classes, les transformations personnelles dans les transformations collectives, les résistances dans les alternatives, et vice versa,

Si le long terme (société débarrassée de l’exploitation et de la destruction de la nature), doit être insufflé  dans les activités conviviales à court terme c’est afin d’éviter l’enlisement ou la « récup » , de se conscientiser ensemble par le souci de l’explicitation, du débat et des échanges (pas toujours consensuels ni festifs) faisant produire le sens et pas seulement l’utilité.

Un exemple : le jardin pédagogique et ses joyeuses rencontres peut déboucher sur le jardin collectif alimentaire, plutôt du côté HLM, et donc aussi facteur de solidarité, de là proposer la défense des terres vivrières péri urbaines bétonnées, sous des formes renouvelées certes mais pouvant inclure les perspectives d’autonomie alimentaire, d’un nouveau rapport villes/nature/campagnes, et des propositions de meilleure gouvernance municipale et nationale (démocratie de co-décision) sans quoi les initiatives de la société civile sont laissée en périphéries, ou étouffées ?

Conjointement et/ou  en amont une intense vie culturelle « poîélitique » se doit d’assurer les changements de visions par les débats, poésie, théâtre, cinéma, cafés associatifs, expérimentations sociales et écologiques, partage des savoirs via l’éducation populaire…et festivals participatifs co construits

La Collectivité  peut ainsi généraliser ce bien commun essentiel, la cantine bio 100% en régie, de la graine (variétés autochtones) à la table y compris serres et conserveries municipales , en régie publique alimentaires (la SCI possible autre formule)  peut contracter avec petites fermes voisines, ou inciter les grands exploitants à se convertir moyennant une aide, le tout peut évoluer dans le développement de relations directes entre villes campagnes, dans une vision inspiré de la permaculture de construction d’une bio économie locale « organique », « résiliente » « endogène » permettant de survivre ensemble tout en se séparant du système c’est à dire du chapelet des prédateurs des hypermarchés, Sodexho, de l’ agriculture industrielle, des requins du foncier et de l’immobilier, des banques d’affaires, bref du modèle de société capitaliste…

Si la Cen association modeste par sa taille prétend à de telles visées c’est qu’une minorité (qui n’a pas vocation à le demeurer) active et décidée en s’appuyant sur ce qui s’expérimente ici et là, peut influencer les conceptions marchandes dominantes et faire antidote à toutes les récups comme la croissance verte, le développement durable, l’économie collaborative, le sauvetage du monde par la technologie…

Ainsi, entr’autres,  l’ubérisation qui disqualifie les métiers, érode un peu plus les droits sociaux et atomise la société en myriades de particules élémentaires concurrentes, au profit de propriétaires actionnaires privés invisibles ayant pouvoir de rapatrier leurs rentes …Ainsi aussi des fausses solutions que sont voiture électrique et revenu de base…

Il y a tant d’outils pour que la parole circule de groupe en groupe, tant de jeux de simulation et autres formules de co-construction (cf world café …)

Récemment : la Cen 26-07 n’existe plus comme coordination mensuelle entre ses quelques dizaines d’actifs.
Son coordonnateur a déménagé sur l’Avant pays savoyard fin 2015

Depuis tente de constituer un réseau juste relocalisé sur l’Avant pays savoyard entre Pont de Beauvoisin et Chambéry  (2)

Nouvelle Education Populaire CEN en AVANT PAYS SAVOYARD

Au pays de l’avant pays savoyard…quid des essais et erreurs de la Cen (fev 19)?

(1)

De promouvoir la démocratie directe ou « horizontale » en commençant par l’horizon des municipales de 2020 comme le moyen essentiel de se protéger tous ensemble des crashs : assemblées d’habitants d’initiatives locales,  implication citoyenne via des commissions : énergies, démocratie directe, alimentation, agriculture, économie, monnaie, déchets, transports, culture, éducation… participant toutes aux décisions finales, élection sans candidat, tirages au sort, débats inter-actifs,…donc mobiliser la société locale , sans attendre, pour ses biens communs les plus précieux (cf les 2 soirées organisées par la Cen au Chateau partagé à Dullin avec les promoteurs de l’expérience de démocratie directe à Saillans)

(2)
Rechercher les convergences citoyennes, pour le Rassemblement des habitants dans leur diversité mais attaché aux biens publics et communs et voulant un bassin du pays d’Aiguebelette, vivant et vivable :

( pour bien vivre au pays en économie endogène et résiliente, contre la braderie des terres agricoles et forêts protectrices, contre la destruction des plus beaux sites, contre les pollutions diverses, contre la frénésie des élus pour  » l’attractivité touristique du territoire » donc leur vision favorable à la croissance commerciale infinie, afin de sauver l’eau et les autres biens communs , relancer des emplois locaux stables dans des productions de qualité comme des services, …

Comment les alerter sur la bétonnisation des versants du bassin d’AIGUEBELETTE notamment  à Lépin le Lac via son ancien PLU mettant en danger biodiversité, l’absorption de CO2 et la pureté des eaux par filtration…et appeler à de nouvelles mobilisations – contre la fièvre immobilière  (7 lotissements en cours !!!)  es élus par les PLU ont rendu constructibles, le béton et le goudron  remplacent prairies et bois épurateurs, et la beauté s’en va autour du lac émeraude aux eaux encore pures (mais pour combien de temps ?)

Et ce, après les victoires juridiques du Collectif « SOS lac d’Aiguebelette » contre les élus promoteurs d’installations fixes d’aviron zone ouest du lac notamment sur site palafittique, aux fins de promouvoir le Lac et d’y attirer tant de touristes qu’il en mourra (cf en aout 2018 plein de gens ont dû repartir ne pouvant même accéder à ses berges) Stop à la promotion Oui aux site tranquille non mercantilisé avec des plages gratuites et accessibles à tous surtout les moins riches et via donc la gare de Lépin

5Mais 8 TER / 10 ont été supprimés!!!!!!!)

(3)

Agiter les idées voire construire l »a bataille des idées » sur le site de l’association (la-cen.org) (5000 visites/jour en moyenne) et sur :radiocouleurchartreuse.com (« la cen cause » : 15 chroniques) certaines redoublées sur radio Graisivaudan.dont 3 Gilets Jaunes , 2 fermes collectives, Amap et conversions au bio, avenir du bassin d’Aiguebelette, 3 sur Qu’est ce que la mondialisation capitaliste ? Combien les aides publiques aux riches ?

(4)
Avons participé dès le départ aux mobilisations et réunions des Gilets Jaunes et fait leur promotion partout via radio, écrits, et réunions et continuons…

Avons rejoint dès le début le Collectif Du TER dans l’avant pays savoyrad contre la suppression de 8 TER/10 par la REGION au 9 déc 2018)

(5)
Accompagner le projet de jardin collectif (bio) au pied des HLM de la Bridoire  (et accompagnement de l’association « Graines d’espoir » avec les locataires (une forme d’auto organisation populaire pour le moment, en panne CAR aucune réponse de la direction de l’OPAC à nos 6 lettres y compris pour rendez vous, peu de soutien des élus, résignations et attente d’un déblocage spontané de la part des locataires

(6)

REITERER (mais avec QUI ?) avec la commune les  « SEMIS CONVIVIAUX en GODETS + ECHANGES de GRAINES » (anciennes)  réalisés le 30 avril 218, salle des fêtes de la Bridoire (fréquentation réduite, mais participation des jeunes  résidents 13-15 ans en soutien au projet de jardin collectif pied d’immeuble) (3)

(7)
Avancer concrètement le projet d’un  jardin et verger collectif (et pédagogique) pour la population de Lépin  et  voisines pour  son école rénovée au chef lieu. Nous avons démarché la propriétaire d’un champ  idéalement ensoleillé,à 300 m derrière l’école. Et la municipalité.

(8)

Continuer une éducation populaire (*) co-aconstructive, fléchée « écologie sociale » municipaliste via
—–un début de « café des biens communs » à disposition de la société civile :  juin 2017 : Des jardins collectifs aux pieds des HLM ; le 2è : « Le lac peut-il devenir notre bien commun ? » Le 3è : la Démocratie participative : causer (toujours ?) décider (enfin !)…

—–une «  Université permanente d’éducation populaire » (envisagée par nos partenaires) au moins de soirées cinés débats (avec textes) en collaboration avec d’autres : par exemple débats : Anthropocène ou capitalocène ? Transition à l’échec ou l’impossible substitution des énergies renouvelables ? Voter par le caddie ou par le mouvement citoyen ? Manger bio ou agrader les sols mortellement atteints ? éduquer à l’environnement ou aux collapses ? pourquoi les écologiques ont ils trahi l’écologie ? probable crash financier comment faire face ? leur couper la dette ou la rembourser ?
—–En effet, construire des solutions crédibles avec la population  nécessite d’analyser ensemble les causes en même temps que de chercher ensemble, dans la diversité des paroles et donc  la démocratie horizontale ou directe de gestion, comment adapter le territoire et la cité sans dériver dans le green-washing :

Plutôt que d’entrée dans l’ »anthropocène » (tous coupables) nous sommes entrée dans le «  capitalocène »

(9)

Continuer de soutenir : le Collectif SOS lac d’Aiguebelette, la coordination des opposants au TGV Lyon Turin, les projets alternatifs à ND des Landes, la Coalition climat, les actions des Amis de la terre Savoie, Alternatiba, Stop nucléaire, les canards alternatifs locaux.. à la radio, sur les listes, sur le site de la Cen

(10)

Participer à la Prochaine AG régionale Cen 2019 .

(*) A noter que l’éducation populaire se développe sur Internet avec de jeunes « youtubeurs » talentueux et percutants, plus des formations de masse (universités d’été «  climat » « Rebelle et Sociale »… les Médias de la France Insoumises et de François Ruffin, Média part, Bastamag, etc etc des actions  de rue, des confs gesticulées, des canards locaux alternatifs…avec leur but :  la capaciter à l’action collective non violente, la dé-colonisation des consciences, les alertes sur les menaces bien réelles mais aussi sur les pistes d’actions pour des sociétés soutenables et résilientes, pour une sortie civilisée des énergies fossiles, du croissancisme, du système de l’ultra libéralisme et son libre échange mondialisé, cause essentielle de notre entrée non en anthropocène (tous coupables de tuer la planète…en caddie)  mais en capitalocène (90 multinationales ont fait les 2/3 de l’effet de serre) celà dit pas toutes seules ! Classes riches et classes moyennes ayant une part autrement délétère que celle des classes populaires, sachant qu’un énorme travail de « conscientisation »  et d’alliance s’impose ici comme ailleurs entre classes populaires et classes moyennes (cf au Brésil !)

La CEN :

Un site vivant, avec sa newsletter hebdomadaire, une coordination régionale sans subordination, une liste de discussion « ECHANGES » (13 années d’existence 300 inscrits), des cinés- débats, des chroniques radio, des cafés citoyens, des réseaux locaux, des participations dans des Collectifs sociaux environnementaux ou contre les projets inutiles, lors d’actions de « sensibilisations » des journées transitions zéro pesticides de semis en godets de graines « population » pour jardins collectifs et permaculture, démonstrations lors de rassemblements ou en journées d’éco-constructions, d’énergies renouvelables, formations aux outils d’éducation populaire émancipatrice, de solidarités internationales,Rencontres d’été….et ce que font ici et là chacun et chacune