Nouveau : Un CAFÉ des BIENS COMMUNS à la BRIDOIRE (73) 30 juin 18h

On nous informe

Voir notre COMMENTAIRE à la suite !

Un  CAFÉ des BIENS COMMUNS
vendredi 30 JUIN à 18h
centre de la Bridoire salle de l’AVIE (au dessus de la poste)

Première séance

« PLANTER RECOLTER et se NOURRIR
ENSEMBLE SAINEMENT aux PIEDS des HLM »

Chacun amène un truc à grignoter. Comme au café, on entre on sort comme on veut. On commence en petits groupes, tout le monde à la parole dès le début, on peut inviter qui on veut…

A la fin on peut envisager des actions concrètes…

Transmis par des habitants du coin.

NOTRE COMMENTAIRE

On soutient !

Il y aurait un projet de jardin collectif pour les locataires des HLM à la Bridoire ?! Super !!!

Des incroyables comestibles, sympa et accessibles, mais homéopathiques, on passe à du nourrissier organisé collectivement…qui n’empêche pas des carrés perso (cf Hauteville 4 tonnes de patates, autant d’oignons, et plusieurs milliers de poireaux)

 

Serait -ce un pas vers l’autonomie alimentaire retrouvée de nos patelins de l’avant pays savoyards (AvPS), comme de nos ex Drôme (championne du bio et… de la disparition des terres agricoles !!!), et Ardèche (ou sévit la crise de l’eau avec un tout tourisme), vers la souveraineté alimentaire de la France  (qui serait désormais incapable de se nourrir avec ce qui reste de terres agricoles (1 département liquidé sous le béton le bitume tous les 6 ans !!!! un terrain de foot toutes les 4mn 50 secondes) terres à 90 % stérilisées par les intrants chimiques et engrais (cf les Bourguigon) mais récupérables avec le bio paysan non industriel et les coopératives et les régies publiques alimentaires (Moauns Sartoux)…et la permaculture (la ferme du Bec Hellouin génère 50 000 € dechiffre d’affaire, en travail manuel sur 1000 M2 (soit un SMIC sur 1/10ème d’ha) en ayant évolué vers un système auto fertile auto régulé après des interventions au plus près de la capacité autorégénératrice de la nature…loin de la permaculture des stages marchands à 1000€la semaine et qui génère les revenus de gourous auto proclamé )

Un jardin au pied des HLM

-c’est du gratuit, du bien commun, du non marchand, du non capitalisme, lien, de la joie, du savoir qui se crée et se partage, de l’autonomie et de la « citoyenneté » politique , écologique, sociale en route ( j’ai failli écrire « en marche »)

-des enfants qui « grattent » et apprenent à cultiver la terre, à manger sur pied raisins et fruits rouges bio, puissants anti cancers (voir les aliments anti cancer dans l’Ecologiste) tout en apprenant les règles du partage et l’esprit des « communs »

-des parents heureux de ne pas les voir trainer sur les murs en abandonnant leurs sodas et coca cancérigènes

– des enfants retrouvant les chemins du goût de la nourriture saine, leurs parents n’ayant pas toujours ni la vision (9 milliardaires leur font la pub et l’info toxiques) ni l’argent pour  passer par les surfaces commerciales du bio (dont de plus en plus de capitalistes verts sans scrupules avec hybrides et produits hors de prix), ni de bagarrer pour des cantines bio 100%, hélas, donc se contentant des hyper et autres LIDL avec pour toute la famille : aspartame cancérogène (selon MM Robin dans « Du poison dans nos assiettes »), colorants cancérogènes, perturbateurs endocriniens, aluminium blanchissant le pain, oxyde de titane E71, cocktail de pesticides aux effets ravageurs . Pour simple rappel 37% des enfants sont malades en France de malbouffe, de « malvie sociale », d’air irrespirable (les bagnoles ça tue ça pollue dont 50 000 décès annuels en France via les voies respiratoires !!!), de mal logement (rapports Abbé Pierre 6 millions très mal logés) , d’une nature globalement empoisonnées (92% de la surface du globe dont plastiques dont énormes continents de déchets plastiques (400 millions de tonnes : cf le gire en Atlantique sud , un continent artificiel de 7 fois la France sur 1 à 30 m de profondeur !!)

-commencer à retrouver la nature bienfaisante et nourricière en réintégrant les sociétés humaines dans ses cycles sans détruire ceux ci voire en les réhabilitant pour, sinon prévenir, du moins atténuer les effondrements qui se profilent (dont alimentaire,cf canicule tuant la biodiversité et aussi les céréales, fruits, légumes… »Comment tout peut s’effondrer » Servigne)

-que les enfant et les habitants apprennent qu »on ne peut vivre sainement sur une planète malade » (malade surtout de l’accumulation de capital entre des mains privées « Comment les riches détruisent la planète » H Kempf, « Espérance de vie, la fin des illusions » terre vivante)

-des idées stimulantes pour cuisiner manger autrement non seulement bio et local mais ce qu’on peut produire partout et sur des terres abandonnées ou, mieux communales, pour commencer en se reliant aux bagarres globales contre l’accaparement des terres par les banques et les investisseurs de l’agriculture industrielle….. au lieu de regarder nos Z’élus les revendre à des particuliers ou à des Z’investisseurs y compris locaux (en ce moment ils bétonnent les versants du lac d’Aiguebelette pour quelques privilégiés tondeurs de gazon et épandeurs de roundop) au nom du développement du patelin, au nom du développement durable (sic), de la croissance verte autres noms de l’accumulation d’argent privé (1% de propriétaires possède plus que 99%)

Ici et partout des assos tentent de composter pailler  stopper les intrants chimiques (« les composteurs pailleurs du Guiers ») aidés par des crédits publics. C’est bien mais entre jardiniers propriétaires pour limiter les déchets verts des communes. Mais faire de l’écologie sociale ?

Ce serait super d’ouvrir non seulement aux proprios mais comme ici à la Bridoire (si tout évolue en ce sens) aux dépourvus d’espace notamment en HLM et en centres villages ou villesdans des actions plus collectives sachant que la question du foncier est verrouillée de toute part par l’argent (les proprios, dont paysans, faisant pression sur les élus pour rendre constructible leurs avoirs, en ce cas leur terre passe de à,5 € le M2 à 50 €, soit 100 fois plus !)

Seul le pouvoir politique national (par les lois) et le pouvoir politique communal, intercommunal peuvent déverrouiller ce système. D’où notre insistance à faire de l’éduc pop de conscientisation aux enjeux socio écolo politiques !! A sortir des objectifs « courtermistes » pour envisager et la globale catastrophe écologique due à la globale économie de marché mondialisé, par le politique comme horizon à la fois : global, national mais aussi local Ce qui conduit non pas à faire de la politique de partis ou à tout politiser mais à interroger ces petits gestes locaux qui en s’enfermant chacun dans sa partie close sur elle même ne permettent guère de faire évoluer (révolutionner) le tout, car l’addition des gestes ne se fait pas spontanément
D’un autre côté, on peut interpeller le consomm’acteur avisé qui pense peser sur son fournisseur en contestant son produit comme un client avisé mais sans mettre en cause, en tant que pouvoir citoyen, le tout d’une économie de marché destructrice  …

Organiser par exemple un atelier de semis en godet collectif avec des semences anciennes peut être un moyen d’ouvrir les consciences et pas seulement un bon moment festif avec apéro

Ce n’est pas que partager, entre participants, du « lien social » (concept catholique) ni au final les seuls  godets, mais bien aussi de partager des infos et une réflexion sur la biodiversité qui se perd (des centaines d’espèces disparaissent chaque jour et à jamais !!!), sur le catalogue légal des lobbies qui ratatine à quelques espèces le nombre des légumes autorisés donc réduisant l’immense bio diversité, sur le droit contesté aux paysans par les multinationales de ressemer les graines sélectionnées par eux comme ils l’ont fait pendant des milliers d’années (depuis le néolithiques)…sur la terre vivrière, actuellement raptée par « la dictature du propriétariat », sur la cantine pas bio du patelin, sur la santé retrouvée par les fruits rouges bio frais du jardin, et pourquoi pas sur « le développement de l’industrie capitaliste en train d’annuler le travail de la vie depuis la colonisation des terres émergées par les végétaux,il y a 480 millions d’années » (A C Galtié), sur …etc etc

L’éduc pop en contexte d’action ou de partage ou de gratiféria ou de journée transition n’est pas chiante si on prend soin de déposer sur la table des articles , caricatures, dessins, et textes au choix des participants (qui peuvent laisser quelques centimes d’€ pour éponger les frais de photocopies (papier durable) ….sachant que sur Internet, sauf les hyper connectés, personne ne lit vraiment en profondeur, toujours stressé par le temps
Et sachant qu’un message (mel) c’est 0,02 gr de C02, soit, si 33 mels par jour (moyenne des salariés) sur 220 jours ouvrables, et si seulement 100 personnes, ce sont 13, 6 tonnes de C02 dans l’atmosphère !!!

On peut aussi ouvrir les jardins privés aux écoles en autant de jardins « pédagogiques » (si l’école n’a pu lancer son jardin)
Ici on a eu un joyeux goûter de radis beurre des enfants de l’école heureux de récolter leur mise initiale, et,  complétant l’instruction sur la vie des plantes au programme scolaire, un petit accompagnement sur quelques savoirs relatifs à la vie du sol, et les moyens d’enrichir cette vie au lieu d’engraisser la plante par la chimie, notamment le compostage de surface et autres savoirs, mais aussi sur le bio à la cantine (quand pourquoi si peu ?) sur la sauvegarde de la terre et de la nature !!! Hier  à la sortie de l’école, ils ont organisé un goûter express avec les salades récoltées une heure avant pour leurs parents. Une bonne pédagogie ne consiste t elle pas à apprendre et à comprendre en produisant et en communiquant (Piaget, Wygotsky, Wallon, Bruner et autres)

Bref plus loin plus exigeant et efficace que les petits gestes , dont le tri et le ramassage des ordures des incivilités adultes, alors que leur monde s’achemine vers le désastre  (cf 90 multinationales réalisant 2/3 de l’effet de serre, sur ce site, cf Trump et l’état US, en transparence l’allié du charbon du gaz de schistes et du pétrole et de leurs riches actionnaires) il est sans doute temps que les enfants et les habitants apprennent des choses graves et joyeuses à la fois:

-apprendre à protéger, non pas l’environnement comme une sorte de paysage extérieur à eux mais la nature en eux par le manger sain et par une « écologie intérieure » non pas une mystique, mais la jouissance de ses beautés, comme la jubilation intellectuelle d’entrer dans une vision globale du projet de la vie et du vivant, de son incroyable capacité d’auto organisation complexe  (cf ceux celles qui pratiquent la production de légumes entremêlés en zones semi-sauvages et qui ont beaucoup plus que ceux alignant leurs impeccables rangées…)

-apprendre à lutter en luttant pour les zones humides qui refabriquent l’eau pure dont nous allons manquer, luttes pour le merveilleux lac d’Aiguebelette (au lieu de quelques animations enfants de temps en temps  par un/e qui détruit les terres d’ici par l’immobilier ravageur tout en prétendant « éduquer à la sauvegarde de l’environnement » !!!), pour sauver les herbes sauvages, la vie du sol, les prairies capteuses de C02 , les grenouilles bienfaisantes, les équilibres de la nature, contre  leur destruction par les intérêts égoïstes et financiers des privilégiés (celà dit un privilégié peut se convertir à l’écologie non prédatrice et construire dans le patelin)

-quels enfants laissons nous à la planète en les amenant à LIDL Auchan Carrefour ou Leader Price ou Super U U U le dimanche et en laissant à l’état éducateur, certes laïc, certes financeur de gratuiteté, mais fortement libéralisé (aucun manuel de cycle 3 sans défense du nucléaire ! aucun de terminales, sans graves manquements quant à la réalité de lacolonisation…) le soin d’éduquer sans y mettre notre nez et sans essayer d’autres écoles gratuites , financée par l’état, mais contenus méthodes et projets aux mains des quartiers des parents des patelins et éducateurs ???

..Mais combien de jeunes savent comment fonctionne une économie d’extorsion de la plus value sur les forces de travail tout en tuant le vivant ???!!!

Ce n’est guère l’école d’état qui véhicule de tels savoirs qui en contexte gravissime deviennent des alertes voire des savoirs de survie !!! (si ? alors faites le savoir , sur ce site bientôt, un espace auto alimenté par les associations partenaires de la Cen et en plus en accès libre !!!)

Défendre ou transformer l’éducation ? Les parents peuvent se mobiliser et les enfants apprendre par recherche action sur un développement local solidaire résilient (permaculture) sans croissance quantitative ni dictature des riches…On peut encore rêver

-planter en HLM avec de préférence ou sans les élus (s’ils n’en veulent pas) c’est pour aller ver la cantine bio 100% (voir ici modèle Mouans Sartoux près de Cannes, la régie publique alimentaire et du coup la restauration de la santé des enfants contre l’agro alimentaire cancérogène massif

-jardin pied d’immeuble occasion d’apprendre de  ressusciter les vieux savoirs des anciens qui ont tout à dire et qui en sont privés au fond de leurs EPHAD et qui peuvent encadrer en douceur  les jeunes et moins jeunes dans une partie des surfaces en forme de jardin pédagogique (à Mouans Sartoux les terres de la régies communales voient les lycéens, collégiens et écoliers de toute la ville en plus de l’éducation des cantinières contre le gaspi à la cantine, sans compter la conserverie municipale)

-voir ici sur ce site ce qui commença au jardin du Grand Charran, à Valence sauvé de la spéculation (par projet d’éco quartier de la municipalité socialiste !) sous l’égide de la MJC et avec votre serviteur et la Cen, sans aucun crédit de la commune !!!

-Et superbe action dans la durée, ce jardin d’un hectare !!! en plein coeur de Fontbarlette, quartier très pauvre de Valence ou le MAT (scop Ardélaine) a réussi à convaincre les élus de le réserver à des jardins familiaux aux pieds des HLM  (et une part partagé) avec le droit de vendre les surplus sur le marché !!!

-un jardin collectif d’HLM à la Bridoire ce serait complémentaire du déjà existant  !

Car il ya ici en un  superbe endroit où coule une rivière, un très beau jardin partagé  avec ces cabanons tout neufs et sa récup de l’eau de pluie du gymnase voisin  (chapeau bas aux anciens élus d’avoir mis du foncier et de l’argent dans  en un endroit ensoleillé et convoité !!!) Que leurs idées se partagent en allant plus loin, vers la récupération de terres pour la régie publique alimentaire, comme à Mouans Sartoux, Ungersheim, Barjac (voir le film « Nos enfants nous accuseront » de JP Jaud), Loos en Gohelle…et tant d’autres qui leur emboitent le pas !!! (voir site « UN PLUS BIO »)

Nous optons ici depuis longtemps pour les jardins collectifs plutôt que  les jardins familiaux (je suis un ex jardinier d’un jardin familial à Péronnas : il y avait des échanges informels,  mais chacun était rivé à son précarré et cherchait son meilleur rendement quitte à empiéter sur le voisin ou à s’y servir !!! (juste à côté la nappe était polluée par une entreprise de peintures industrielles qui avait enterré ses fûts sous la dalle !!!)

-jardins pied d’immeubles, puissantes sources de savoirs sur la vie du sol, la vie des plantes, la vie des humains, la survie alimentaire face au réchauffement climatique et face à l’effondrement du système des banques privées (cf sur ARTE, la DEUTCH BANK, en mauvaise passe risquant faillite et de faire tomber par effet domino tout le système bancaire européen, qui déjà avait été sauvé par les milliers de milliards de nous, contribuables en 2009/10 au prix maintenant de l’austérité pour les pauvres . Et sans monnaie, sans argent on mangera quoi ?

-avancer peu à peu dans une vision écologique et non industrielle de la production/consommation des nourritures en les liant à la terre vivrière  (77 000 tonnes de nourritures gaspillées par an en France !!!) Sortir enfin de la nourriture hors sol provenant du ciel (des avions, raisin argentin) ou des bateaux (près de  (?) 10 millions de tonnes de soja OGM pesticidés  d’Argentine pour fabriquer les tourteaux donnés aux vaches des grandes fermes industrialisées et hors sol) des usines (1 million d’éclairs au chocolat par jour congelés) ou des grandes distributions (lieux des plus grands « gaspi » : 75 salades jetées sur 100, à force d’être tripotées et transportées) Rappel : après avoir détruit des 100 aines de milliers d’emplois, elles  doivent des centaines de milliards à l’état d’impayés (voir sur ce site)

-avancer vers un concept du recouvrement de notre souveraineté alimentaire, pas seulement nationale mais aussi locale (étude chambre agriculture : Valence consommait en 1947 87% de sa nourriture dans un rayon de 30km ! Aujourd’huin 90% parcourt des milliers de km)

-aller vers une perma-économie résiliente (dont défense de notre agriculture paysanne et de nos producteurs bio locaux trop peu nombreux, notramment avec des cantines bio direct) et pas de bonne agriculture qui n’évolue vers la perma culture avec la sauvegarde des zones naturelles
-nous conscientiser mutuellement à une citoyenneté politique plus active des habitants organisant leur vie et leur bien vivre réconciliés avec la  nature « naturelle » (non artificialisée)  afin qu’ils s’occupent en direct de leurs oignons (par des mobilisations citoyennes ou le pouvoir politique local  de la société civile comme à Saillans)

Soit une citoyennetés politique horizontale (gèrer à tous/tes la cité) qui nécessite de sortir du système représentatif parlementaire, lequel nous ôte nos pouvoirs par leur délégation à plus riches et diplômés et professionnalisés voire « marketinguisés » (ploutocratie/oligarchie)
*cf exemple emblématique de « En marche » : 2 ouvriers sur 500 candidats!!! ces deux non élus et quelques employés sur 310 élus !!! (ouvriers plus employés = 17 millions de salariés)
*cf les 54 % d’abstentions aux présidentielles ajoutées aux non inscrits , aux 6,5 millions de mal inscrits record depuis 1848 n!!!

Citoyennetés également
_économique afin de reprendre pouvoir sur la finance,
_écologique (stop écologie environnementale vive écologie sociale les humains dans la nature en coopération et restauration)
_sociale (syndicats et collectifs de salariés enfin droit au chapitre, dans le privé,  en scops ou autres organisations liées au territoire),
_ culturelle  (démocratie culturelle = participation de tous à la création artistique et aux savoirs)
_éducative (reprendre la main au lieu de déléguer aux fonctionnaires)

Crise de la citoyenneté et de l’engagement:

largement dépendante de la globalisation (et de l’Europe) qui dépossède les état de leur souveraineté et donc les peuples désormais sous tutelle, à quoi s’ajoute  la dépossession de leur puissance d’agir  partout via la pub, l’école, le consumérisme , les cultures infantilisantes de l’intimisme , du repli sur la sphère privée, sur les jouissances perso et le sans limite

Nous nous déchargeons  d’agir local, au profit d’apéros et autres activités de bien être, et de repli sur soi, au lieu de nous ouvrir à ceux qui ont moins, non pour les assister (cf l’humanitaire des surplus jaunis de grande surface donnés aux humbles, soit 11 millions de pauvres français) mais pour chercher avec eux les voies de l’émancipation générale

Que vive donc la reprise en main de la démocratie locale cette belle école prolégomène à une démocratie fédérative directe nationale (et une nouvelle ONU à gouvernance revue) : cf les élections sans candidat sous la commune de Paris sur ce site, la semaine dernière!!!

-HLM de la diversité sociale donc aussi  pour …accueillir les migrants (25 millions partent chaque année du Sahel !)
la société civile peut imposer à l’état de donner des bâtiments existants ou des HLM sans ghettoïser . En effet, les jardins créent un cadre si agréable à vivre et à partager que la mixité sociale peut très bien s’y installer de nouveau car il peut faire mieux vivre dans des HLM rénovés à chauffage solaire et granules, et à jardinset à solidarités : cf les propositions des associations  en Vallée de la Roya, à Calais, et un peu partout (France 15 millions de bénévoles)

Accueillir sur le territoire, les galériens de la mondialisation et des conflits, les salariés pauvres , les retraités à 700 euros..s’occuper des moins fortunés , les associer à la gestion des biens communs via la démocratie directe, tout ça grandit l’âme.

Ainsi tous peuvent être accueillis et bien accueillis par les communes si le peuple les gère, en veillant à ne pas consommer de terres agricoles , donc en construisant si besoins, à l’intérieur du périmètre, en réservant les périphéries aux jardins aux régies alimentaires…
Il faut donc stopper les PLU et ventes pour les résidences secondaires, déclassaer les surfaces initialement  classées constructibles en inconstructibles (machine arrière toute)

Bref bienvenu à un café des biens communs !

Qu’il soit sans exclusives et sans conférences abrupto , tourné vers l’action , tout  à l’horizontalité culturelle et le plus possible géré par ses participants et ceux qui ont souci de sauver les biens communs