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PRESENTATION  de la CEN Elle se veut utile à l’éveil des consciences, au colportage des savoirs d’écologie sociale, pour des sociétés justes et soutenables,  elle se veut utile aux convergences locales, nationale et géo-planétaires dans la diversité des mouvements de la société civile, des mouvements sociaux et citoyens antilibéraux , des mouvements philosophiques et culturels émancipateurs, afin que les forces de la vie et de la justice sociale prennent leur avenir et celui de la planète en main via la démocratie réelle ou directe

Avec bien d’autres mouvances, nous proposons les alternatives visant la sortie du système capitaliste, génocidaire et écocidaire, à son accumulation privée du Capital, à sa  croissance infinie, à sa financiarisation spéculative, à son libre échange, à sa mondialisation ravageuse, son contrôle général sur les décisions politiques via son travail de lobbying en coulisses des démocraties représentatives libérales, sa main mise  sur l‘information et les cultures main stream donc aussi sur les consciences et même les inconscients (publicité), sa domination sur la société (la culture, l’urbanisme, l’éducation, les services…) sur les clients de ses GAFAM, son consumérisme et sa culture  de l’avidité, de la poursuite de buts égoïstes (ou seulement compassionnels) et de bien être limité à sa propre personne, son mépris des masses qu’elle exploite et divise par les discriminations,  ainsi que son techno-scientisme, son ubérisation et sa “startup-isation”généralisées …

Bien que modestement organisée, car mouvement stygmergique, la Cen se veut “éveilleuse” , “alerteuse” , “agitatrice d’idées”, antidote aux récupérations de la croissance verte, au moins utile aux débats ouverts , au tricotage entre luttes et dépassements alternatifs, afin d’essaimer les désirs de changer le système de production (dont systèmes de production d’énergies fissiles et fossiles, chimiques et plasturgiques) et de consommation, d’éducation hors sol et de domination, pour réduire les émanations qui ravagent le climat, pour stopper les déversements épouvantables (cf ces milliards de tonnes de plastiques et de substances cancérigènes polluant 95% de la planète) pour un pacte entre justice sociétale et soutenabilité, pour stopper la convergence des effets écocidaires provoquant l’anéantissement du projet de la vie sur terre.

Elle milite donc du local (*) au mondial ,  pour la décroissance de l’économie prédatrice, des multinationales ravageuses des ressources humaines et sociales, pour un ordre mondial fondés sur la coopération entre les peuples, la justice sociale et climatique, pour des sociétés soutenables de justice et de coopération avec la nature, de sobriété et de démocratie directe.

 Elle opte pour une perma-économie résiliente, endogène, socialisée, contrôlée par la démocratie sociale et locale, pour un dépérissement des fonctions aliénatrices de l’état pour faire renaître la puissance citoyenne de tous,  pour une effervescence de la vie sociale, culturelle, civique, faite de fraternité, d’égalité, d’émancipation des personnes du joug rémanent dans les consciences des programmes libéraux, culturels, technologique et symboliques, pour l’accomplissement de la vraie richesse de l’être humain être social politique spirituel et non consommateur crétinisé par la publicité ou la mode, appartenant pour son immense majorité aux classes les moins riches, d’esprit raisonnable comme de culture de modération ayant conservé au fond d’eux mêmes comme leurs aïeux le  respect de la nature belle et nourricière, aujourd’hui tant saccagée.