MERCI PATRON

Le film de l’Asso “Le Fakir”  recommandé chaudement aux amis de la Cen  et tous les autres !

Il sort en salle le 24 février, malgré les embûches…et en avant première dès janvier (ici quelques lieux)

Le 20 février nouvelle formule du journal rouge et un peu vert vu que c’est le même système qui ravage la nature et les sociétés humaines…

Film des pieds nickelés picards contre le Goliath du luxe LVMH

Son PDG Bernard Arnaud

Il reprend Boussac en 1985 promettant de conserver les emplois qu’il liquide sauf l’usine de DIOR…Début de sa fortune 30 milliards d’€ l’homme le plus riche de France.
Le film commence chez un couple d’ouvriers au chômage, à Poix du Nord, où leur usine vient d’être délocalisée en Pologne. leur cas sera porté à l’AG des actionnaires pour toucher le coeur du PDG

Du suspense de l’émotion de la rigolade !

Mais le Centre National du Cinéma n’a rien donné …Pressions …Alors c’est à nous d’en faire la pub et le succès. “C’est pour ça qu’à  la la fin c’est nous qu’on va gagner !” et pour commencer contre la morosité et le sentiment d’impuissance  !

AD

A Besançon le 11 janvier Au cinéma Victor Hugo, A Valence, le 19 janvier à 20h au Navire, le 21 à Grenoble au Club, le 13 à 19h à Annecy Quatre Nemours, à Avignon, le 3 février…

En présence de François Ruffin, réalisateur de “Merci patron !” et rédacteur en chef du journal Fakir.

PRESENTATION
“David peut-il encore l’emporter contre Goliath ? Des pieds nickelés picards faire tanguer la multinationale LVMH, premier groupe de luxe au monde, et effrayer son PDG, Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France. Jocelyne et Serge Klur fabriquaient des costumes Kenzo à Poix-du-Nord, près de Valenciennes. Mais leur usine délocalisée en Pologne, ils se sont retrouvés au chômage, criblés de dettes…

“On doit vivre avec 4€ par jour pour nous trois, c’est l’assistance sociale qui a calculé le budget !” et risquent maintenant de perdre leur maison. Une intervention en assemblée générale des actionnaires suffira-t-elle à régler leurs soucis ? Parviendront-ils à toucher le bon cœur du PDG ? Du suspense, de l’émotion, de la rigolade, et même de l’espionnage pour ce thriller social…

Dans une France triste, dans une gauche minée, voici l’arme anti-morosité. L’Arnaque en version lutte des classes. Une farce, menée par des ouvriers, et qui redonne de la joie, et de la fierté, et de l’espoir.