Sommaire
- Pourquoi les parlements belges se sont-ils prononcés sur le CETA et pas les autres ?
- La Wallonie est-elle la seule à s’être exprimée contre le CETA ?
- Il serait trop tard pour modifier le CETA !
- On ne devrait pas pouvoir bloquer un accord commercial négocié au nom de 500 millions d’Européen·e·s
- Le CETA est un accord trop technique pour que les peuples soient consultés
- Le rejet du CETA, un réflexe « nationalo-régionaliste »
- Si l’UE ne ratifie pas le CETA, elle se retrouvera hors-jeu
- Le CETA est mieux que le TAFTA, c’est « le meilleur » et « le plus progressiste » des accords
- Quels seraient les contours d’un traité réellement « progressiste » ?
Depuis des années, Attac et ses partenaires, n’ont cessé d’alerter sur les dangers que représentent les accords de libre-échange tels que CETA et TAFTA, l’accord entre l’Union Européenne et les États-Unis. Face aux institutions européennes et aux gouvernements qui souhaitent précipiter l’adoption définitive du CETA, il est urgent d’approfondir le débat démocratique sur le CETA, et plus largement sur le futur de la mondialisation.
L’objet de ce petit guide est de revenir sur « l’épisode wallon » et de répondre à la déferlante de commentaires et d’analyses qui visent, dans les grands médias, de décrédibiliser les opposants aux accords de libre-échange. Pour remettre à l’endroit ce que certains ont présenté à l’envers !
Pourquoi les parlements belges se sont-ils prononcés sur le CETA et pas les autres ?